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10^-8 point

On a un nouveau ministre des finances qui apparemment ne parle très bien anglais du tout :

(c »est tronqué ! Remboursé ! Dans ce que j’ai vu, la porte se referme et tout le monde crie d’un ménage d’horreur et d’indignation ! Alors, fais ce effort de garder cela en tête avant de lire la suite)

(EDIT : voilà une vidéo plus complète, mais on ne voit pas la porte qui ajoute au comique !)

Je n’ai jamais été aussi amusé par l’UMP à cause de l’un de ses éléments.

Et je ne m’y trompe pas puisque le fait divers en question a été baptisé par les médias « La Bonne Blague de Baroin ».

Je ne sais pas si tu t’en rends compte, mais ce micro-évènement est déjà gravé dans l’histoire politique de France au rayon « Bonne Blague », une blague qui est bonne, bonne. Il a comblé son bon petit vide politique, le temps d’une journée de moins à tirer à gouverner la France d’une manière que je ne qualifierais pas pour des raisons qui ne me regardent pas.

J’applaudis à deux mains cette répartie à froid et par surprise comme un missile air-sol façon mawashi gueri dans la gueule. Il ne répond bien sûr pas à la question de la journaliste, mais en plus lui envoie dans sa face un Scud à tête chercheuse programmé sur son cul.

Et les éclats de rire piégés sont liberés de manière soutenue.

Il n’attend aucune réplique de l’adversaire mise hors d’état de nuire. Il quitte le pupitre officiel précipitamment la salle et ouvre la porte de sortie. C’est alors que la rieuse à éclats meute de journalistes sur sa faim se mettent à meuglent dans un chaos de mots : « restez, j’ai une question, vous ne pouvez pas partir, vous nous devez le compte-rendu du conseil des ministres ». Ben si, d’ailleurs la porte se reclaque déjà dans la stupeur générale. Encore une fois, quelle fameuse et géniale effronterie Monsieur Baroin.

Mais un conseil si je me le permettais, si c’était à refaire, ne séchez pas les cours d’anglais, ça aurait servi le sens politique. Et un peu de nerf que diable, maintenant que DSK est out.

Revenons au manifeste qui me taraude depuis des jours

Revenons au manifeste qui me taraude depuis des jours. Comment fédérer les fins esprits que je me suis en tête de traquer sans en être le chef ? Gasp…

J’avais une idée aujourd’hui. Mais comme mon ex elle est partie…

Il fat que je cesse de médire sur la puissance de notre cerveau. Il arrive assez à faire stresser déjà comme ça non ?

La déclartation optimiste est là, mais où donc ? Elle se crée et réfléchit à son alter ego. Ce n’est pas un secret question stratégie. Ca fait du bien !

Je m’intéresse finalement à notre capacité à inventer des histoires. Je suis touché par l’improvisation vécue. Par les suites aléatoires de mots qui sont dits par des personnes comme moi. Rasoir, atome, fruit, mépris, la, terre, mule,jeu,rouge,vert,blanc (oups), tenet, saillant, Euride, Schwepps, février, flop, capot, Bernard Ménez, UMP, , !!!, bougnat, bruche, corde. Hitler a tué son style de moustache, il a tellement marqué son temps qu’on a encore peur aujourd’hui de porter la moustache comme lui. Si c’est pas du pouvoir ça…

Pourquoi ne peut-on pas parler d’Hitler quand on est pas histoirien ? Qu’est-ce qui fait que l’on ne eut pas aborder neutrement le destin d’un homme ou d’une femme à l’histoire exceptionnelle ? Car je suis désolé, tous les tyrans ont une histoire exceptionnelle en comparaison à l’humain moyen. RIen que cela, cela ne se dit pas parmis mes semblables.

On me fera pas croire que s’intéresser à la vie d’une personne décédée ou non et d’écrire des bouquins et des bouquins dessus, cela puisse être finalement vraiment intéressant et utile. Les chercheurs en histoire ne font que fabriquer des histoires à partir d’informations diverses. Une fois validée, cette histoire s’incorpore à un corps plus grand, celui de noitre histoire. Mais sur le plan de la vérité, qu’est-ce que notre histoire ? Ce n’est qu’une interprétation, aussi il me paraît malaisé de prétendre chercher la vérité dans l’histoire. Partant de ce principe, je préfère penser qu’il est plus reposant intellectuellement de confondre la vérité et l’histoire. Cela facilite le raisonnement, les différences entre les deux ne sont peut-être que de la finesse d’esprit, la taille de cette maille pour comprendre et compulser les informations perçues.

Je suis mon corps, pourtant je tombe malade. Je devrais pouvoir me réparer tout seul, pourtant je ne le fais pas car je n’en suis pas capable. On subit son corps ! On n’en est l’esclave. Et si la porte de sortie c’était de quitter cette enveloppe ?

Nous sommes donc sur l’échelle de l’évolution (si tant est qu »elle existe!) comme une espèce. Une espèce. Ca veut dire qu’on va encore peut-être évoluer dans les prochains millions d’années, bref, on est pas stables. Une autre vie intelligente a probablement dépassé ce débat un peu archaique, convenons-en, pour avoir évolué hors de la nature pour perfectionner non pas sa descendance, mais soi-même ! Je parle là d’une évolution telle que l’espèce puisse se défaire de cette notion de nature.

J’aimerais beaucoup entendre des voix, ça me laisserait dire qu’il y a quelqu’un qui veut me parler. Mais je pense que je serais avant tout terrorisé.

Je ne pourrais jamsi me dire que je suis bien par exemple à marcher pied nu car je ne fais qu’un avec la terre. Je n’ai pas de connexion entre moi et la nature. Je n’arrive pas à m’y intégrer.

J’ai très peur de me mettre à réfléchir à certains sujets. Je me l’interdis et me force à penser à autre chose. La folie m’attire mais je reste sans problème maître de moi. Ca s’appelle de la droiteur d’esprit comme on dit…

J’éprouve des difficultés des choses que je me force à retenir pour plus tard et dont je perds la trace invariablement dès quelques heures passées.

J’ai une très grande clairvoyance. Je vais tâcher de la dompter et de me dire ce que j’ai à savoir. Tu peux changer ? Alors change ! C’est un bon défi pour prouver ma valeur sur les suites aléatoires de mots. Excellent. Tiens j’ai envie de partir, juste là, maintenant. Claquer la

porte et voilà. Heureseuement, la raison est là.

L’argent. Encore un défi, comment sortir de son cadre et trouver un moyen simple d’avoir de l’argent, et au moins vivre décemment et ensemble. L’argent semble bien cadenassé et les faiblesses dans le réseau sont indécelables à mes yeux. Mais si… ?