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Articles pour le mot-clé ‘tais’

J’aurais bien voulu la trouver celle-là

Et inutile de dire quelque chose comme gnagnagna il vient de découvrir un truc qui a mille ans (mille ans, soit le quinquénnat de sarko). Moi, ça fait longtemps que je sais que si moi j’étais Chuck Norris, tout le monde serait des Chucks Norris, tellement il y en a dans la foule qui ne demandent qu’à me mordre fort dans le dos comme ces zombies. C’est beau de se sentir soutenu, certes, mais fort heureusement je ne suis pas Chuck Norris et on n’a pas tous à se faire pédés.

 

 

Trop nase Google

Je recherchais le nom de cette bière estonienne, la fameuse shlürz 377, tellement fameuse qu’elle est introuvable. Rien de plus simple à savoir grâce à Internet ?

http://www.google.fr/search?hl=fr&safe=off&q=shl%C3%BCrz&oq=shl%C3%BCrz&aq=f&aqi=&aql=1&gs_sm=e

 

Le professionnel du référencement a l’oreille qui frémit à ce mot-clé, très petite niche marketing qui ne retourne AUCUN résultat. Rien, nada, le vide sidéral.

J’ai trouvé une autre niche, enfin un autre nom pour la niche précédente. Il me suffit de saisir ce mot-clé, et je suis presque certain de frimer dans les cimes du classement. C’est bien sûr la bière estonienne. Une bonne bière estonienne, histoire de faire monter la densité de mots-clés de cette page.  Bref la schlucht, la schlürzdt, la schultz, la shlütz, autant de mots approximatif dans une langue qui ne l’est pas moins pour moi. Impossible non seulement de me rappeler de l’appellation que j’avais choisie pour ce qu’un visiteur au nom de Moots a désigné, peut-être un peu hâtivement moins que par trait d’esprit, par l’expression suivant : une bière estonienne ?

Oh j’en ai enquillé des pintes de Saku, que ce soit à Tallinn ou à Tartu. Mais comment donc Moots a pu savoir que j’étais allé plusieurs fois en Estonie, et que mon passif de brasserie me poursuit encore  ?

http://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_marques_de_bi%C3%A8res

Et pourquoi pas

Hier je passais en revue les sujets que j’abordais et ceux que je n’abordais pas. Je m’aperçois que ce que j’écris est très anonyme. Et moi qui me croyais liberé du système, voilà que je découvre avec effroi que mon filtre sur qui je suis vraiment me gâchait la vue. Bof.

Bon, je suis en région parisienne.

Est-ce que tu as déjà serré la main ou fait la bise à un ou une millionnaire ? Rah moi quand j’y pense, j’étais à un millimètre de Anne Sinclair et je n’ai pas réussi à transformer. La nature était trop belle comme dirait Bigard. Mais j’arrive quand même à me regarder dans une glace, j’ai épinglé Patrick Le Lay, sournoisement, en usant de milles ruses,  il n’en a jamais rien su. Il n’y a strictement aucun espoir qu’il se souvienne de cette poignée de main dans un ascenseur de la grande tour. Tiens, PLL, si t’es le génie que tu prétends, donne-moi des détails…

Excellente soirée Thema sur Arte ce soir, avis.

Et si cette semaine je…

… jouais bien au poker ? A la partie de jeudi prochain, je vais jouer comme si j’étais Gus Hansen.

Je vais faire le travail de tout comédien et imiter the great Dane, du moins dans la stratégie de jeu que j’ai pu comprendre de lui. Avant je dois faire un crochet au distributeur pour avoir dans les poches la profondeur de mes prétentions.

Je vais tellement agresser la table que je vais les rendre fous. Je vais jouer mes 500 premiers euros comme ça (cave 10 euros, blinds 0,25/0,25) et je serai le seul gagnant bien sûr. Je vais relancer comme un damné tous les coups, pot pot et repot. Je finirai en duel avec le gambleur de la table, Sir Mo, toujours prêt à jouer toute sa thune à pile ou face, à griller son dernier billet mais en jouant toujours aussi fort.

Son jeu est intéressant en cela. Tout le monde sait qu’il n’hésiterait pas à tout mettre quoi qu’il arrive. Donc de deux choses l’une. Soit tout le monde se couche et il emporte le pot sans montrer son jeu, soit un joueur va à tapis aussi, et là c’est du bingo avec 50% de chance de gagner et pas un pourcentage de plus. Et cela doit lui procurer beaucoup de bien quand il gagne, et quand il perd lui faire ressentir un certain fatalisme , rien à voir avec d’éventuelles erreurs de jugement. Non, quand il perd, ce n’est pas de sa faute, c’est le sort qui en a décidé ainsi… Mon coco, jeudi tu vas rencontrer ton jumeau, mais ça ne va pas sympathiser.

Allez on va dire que demain je joue le personnage de Mo, c’est presque plus ambitieux. Zob !

Savais-tu que Pablo Escobar avait fait changé la constitution de la Colombie grâce à son réseau d’influence et à son argent de la drogue ?

Voyons voir, où en étais-je. Ah oui

J’ai plus faim. J’ai trop mangé. Du concombre, des tomates cerise, du comté, du parmesan, quatre tranches de pain de mie 6 céréales passées au grille-pain, et me voilà calé, gavé à en être malade. Ca va passer mais pour l’instant je me sens comme Bill Gates le matin où il s’est levé avec l’idée de faire Windows. Une bonne intention de prime abord que l’on regrette assez rapidement. Ou comme Polnareff en 2010. J’ai un gamin mais en fait non. Remplacez « gamin » par « creux » et vous approcherez plus de mon état actuel. En plus j’irai bien aux toilettes, mais ça risquerait de réveiller ma copine. Bref je me sens lourd dans tous les sens du terme. Pesant, plombé, lourdigue.

Morne quotidien !

Je regarde un film où les gentils empêchent une femme d’acoucher.