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Articles pour le mot-clé ‘plaisir’

Ca y est !

Je vais devoir me coller un jour où l’autre au billet qui parle des « albums » que j’ai eu le plaisir de boucler…

…et même de co-mmer-cia-li-ser.

Quatre albums, onze morceaux, vingt ventes :

  • Album 1 : HUMAN (2002 CD1)

HUMAN – Part 1

HUMAN – Part 2

HUMAN – Part 3

Le manifeste. Que du piano. La pochette est compliquée… Un petit homme et le temps qui passe sans s’arrêter.

  • Album blume : ARVO DENIOZ IS BLUE (2002, CD2)

Arvo Denioz is blue – Part 1

Arvo Denioz is blue – Part 2

Arvo Denioz is blue – Part 3

Pas le plus abouti des quatre. Mais récemment, je me suis surpris à le redécouvrir encore et encore.

  • Le troué :  SLODONE! (2002, CD24)


SLODONE! – Part 1

SLODONE! – Part 2

SLODONE! – Part 3

Pareil. Pourtant tout n’est pas sorti jusqu’à ce 24.

  • Le dernier : Let me X (2002, CD 26)

Let me X – Part 1

Let me X – Part 3

Ca restera peut-être mon préféré.


Bon j’ai la flemme de faire de belles photos de studio. C’est juste pour illustrer et donner de la valeur à ces rares exemplaires…
Tu connais Adrian Cronauer ? Ce gougnafier, non seulement républicain, a milité pour l’élection ET la réélection de Bush fiston…

Pas…

… enthéogène.

Et un papillon de plus.

Il faut avoir au moins une fois avoir essayé la prise de substances enthéogènes.

C’est drôle, il y a des espèces d’iinsectes par exemple qui sont interdépendantes. L’une ne peut pas vivre sans l’autre. Mais pour nous peut-être c’est le même raisonnenemt.  On est aussi interdépendants. L’ultime outrage voudrait que l’on ait enfin réussi à quitter cette dépendance. Alors, on ne serait entouré que de vestiges folkoriques qui ne servent à rien : ces petites bestioles un peu concon, bref, la nature dans ce qu’elle a de plus fruste.

Alors à la vision d’un insecte, je n’ai de cesse de me dire que nous, humains, on a gagné sur eux parce qu’on a inventé la télé, et que surtout on décide de leur vie ou de leur mort, bref à l’envie on peut en tuer impunément.

Je suis convaincu qu’il y aura un jour un paradigme atteint. Lorsque l’on sera vraiment maître de son corps grâce à la technologie et la science, ne plus mourir, être en parfaite condition physyique pour toujours. L’évolution de notre forme de vie. L’humanité ne sera pour moi pas aboutie avantcela. On a gagné sur toutes les espèces en compétition puisque l’on prétend à la domination suprême. Je m’interroge sur la provenance de cette amour de la nature qui n’est non pas pour prendre de l’avant, mais pour au contraire revenir à l’origine. Malheureusement quand je lis les news du monde, je conclus qu’on a encore deux trois minutes minimum avant que cette prise de conscience fasse l’unanimité.

De toute façon, faire jouer des scènes de cinéma à des insectes qui eux, ne le savent pas, et ne pensent qu’à bouffer, c’est un peu se moquer j’ose espérer. Ils sont tout mignons avec leurs petites papattes velues.  On fait un décor de fourmilière, on déporte quelques fourmis qu’on réaclimate au plateau de tournage inspiré de spécialistes entomologues, et on les filme  en faisant croire au spectateur que c’est chez eux là. J’essaye de comprendre le sens de la démarche, j’en viens à penser que l’on a affaire là à un gang organisé de pervers à tendances fétichistes qui s’excitent sexuellement à l’image d’une mygale dans un grand terrarrium artificiel. On a réussi à tellement bien reproduire l’environnement naturel que la coccinelle elle en a niqué une autre. Ces documentaires sont des pornos faits par des gens pas très clairs dans leurs têtes. Sordide interdépendance…

Est-ce que tu crois que tu arriverais à faire apprendre à un insecte quelque chose ? J’ai pas dit une femme hein…

Et bon, la vie sur terre, on peut la considérer comme un système d’exploitation informatique. On peut faire tourner dessus tous les programmes, enfin les produire. Si l’on considère l’hypothèse extraterrestre acquise, il y aurait autant d’OS que d’expériences biologiques planétaires concluantes. Alors on nous a préparé une planète, bien nettoyée avec un astéroïde il y a 65 millions d’années. Et quand on aura bien évolué, on les rappellera pour le sav… Mais bon, on utilise pour rappel encore des avions pour se déplacer.

Mais c’est la période révolutionnelle. La Tunisie vien de gagner des jalons inattendus dans l’expression de la démocratie. L’Egypte, le Yemen, la Jordanie, la Lybie, Bahreïn, le Maroc, et maintenant… la Chine ?!? Fichtre, ils sont partout. Je me demande bien qui, au bout du compte, va sortir gagnant et qui va perdre. Les gouvernements ? Les peuples ? Nouvelle époque de détente ou de coup de vis ? L’actualité internationale des mois à venir va susciter mon intérêt prononcé, hélas tout en déplorant à l’avance la liste de morts qui va s’allonger dans sa pire bestialité de comptabilité d’abattoir.

Parfois je me demande pourquoi je cherche tant à recycler le fond de mes méandres intérieures. J’en tire bien sûr un grand plaisir et la satisfaction du temps pas trop perdu. Mais quel peut bien être l’intérêt de la réflexion comme un plaisir ? Pourquoi j’écris ? Et qu’est-ce que je fais dans ma salle de bain ?

Est-ce que tu connais Andy Kaufman ? Vraiment ? Ca rejoint ma question sur le catch, truqué ou pas.

Ayanamei Rey

Ah qu’il est difficile de faire comprendre la passion des dessins animés japonais au néophyte… Mais je vais quand même essayer, d’autant que je suis pas passionné par les mangas.

Prenons par exemple n’importe quel dessin animé japonais. Quel que soit la trame développé, l’histoire intégrale et complète n’est pas appréhendable dans les épisodes. Pour faire bref, la réussite de ce dessin japonais se mesure à ce qu’il ne montre pas de l’histoire. Si ce qu’il ne montre pas met en exergue une actrice de l’histoire, elle en devient d’autant plus évocatrice.

Ayaname Rey, elle rend fous les garçons. Elle est décrite comme mystérieuse au possible. On ne capte que queques traces de bribes sur elle au cours de toute la série. N’importe qui en connaissance de cause, tuerait près et mère pour la rencontrer et lui faire subir les derniers outrages avec le désir fou de réussir à lui procurer du plaisir… Même la simple possession d’une poupée à son effigie doit faire arriver à faire mouiller une camionneuse nippophile.

Plus généralement, comment les scénaristes ont-ils résisté à l’irrépressible envie de rentrer plus dans le personnage et de forcer le trait du brouillon ? Sont pervers ces poponais.