Archives

Articles pour le mot-clé ‘hein’

Je reviens d’une partouze

Pour ceux qui croient connaître le sens exact de ce mot grivois, je me dois de les remettre dans le droit chemin. Ce n’est pas ce que vous croyez. Pour les autres qui refusent ne serait-ce que d’imaginer ce que ce gros mot peut vouloir signifier, ma foi, bouchez-vous les oreilles le temps de mon exposé magistral comme vous le faites au moment de glisser votre bulletin dans l’urne<.

Oui, la partouze n’est pas étrangère à la politique. On y forge des alliances, on se fait des alliés qu’on ne manquera pas d’abuser dès que des circonstances favorables pointeront le nez ou tout autre organe plus long.

Non, la partouze n’est pas une partie de plaisir. Sa pratique doit se faire dans le cadre d’un entraînèrent quotidien pour garder la forme olympique au pieu. La partouze est un sport. Les amateurs transpireront à grosses gouttes et se feront rétamer au mieux au deuxième tour. D’ailleurs aucun touriste n’a jamais été vu dans le dernier carré du tableau. Vous voyez le tableau d’ici.

Oui, la partouze est un sport exigeant qui requiert un engagement total, une discipline de moine, une connaissance parfaite de son bas corps. On est pris dedans à 100%, on n’a pas le temps de mettre à jour son statut sur Facebook.

Moi, pour mon premier match, j’avais un statut, euh comment ils à l’ONU, ah oui un statut d’observateur. Ne vous moquez pas, hein, c’est quand même bien mieux que d’avoir le statut de force d’interposition… La première fois, pas facile de faire son trou et d’avoir un rôle d’intervention. C’est de la politique, mieux de la géostratégie. On laisse passer les gros pontes en premier et on bouffe les miettes. C’est la meilleure façon de commencer.

Bon, je n’étais pas complètement un observateur désintéressé, on va dire que j’étais comme un journaliste de terrain, le micro à la main, prêt à piger la volontaire participante qui semble s’en  sortir le mieux. Je suis rentré dans quelques mêlées, mais c‘était avant tout pour prendre la température. A posteriori je suis content de mon reportage. Il faut dire que je suis bien équipé, ce qui peut m’ouvrir des portes…

Ah oui, j’oubliais, pour une partouze, comptez trois participants au moins. Une partouze à deux, on en convient tous, il y a pleins de mots qui conviennent mieux. Désolé pour la moitié de la salle, vous n’êtes pas partouzeurs…

Non, la partouze tout seul, ce n’est pas une partouze. Je sais qu’avec l’avènement du streaming sur Internet, on a vite l’impression d’être acteur dans la vidéo qu’on regarde d’une main. Mais techniquement ce n’est pas une partouze.

Désolé pour l’autre moitié.

Liaisons

On n’a pas inventé grand chose en synonyme du mot braguette. Quel est l’autre mot qui veut dire braguette ? Allez ? Cherche ? Il n’y en a pas.

Et l’on fut plus prolixe pour dire un slip. Il existe des centaines de dénominations pour cet accessoire incontournable. Culotte, slob, string, calbute, benne, caleçon, sakakuÏ… et encore je ne me fatigue pas trop pour illustrer.

Sans transition ou presque.

Je réfléchis parfois à une idée barrée d’événement festif personnel. L’organisation de la soirée de mon entourage : travail, famille, amis, concierge, profs, bref tous ceux que je connais (et dont je me souviens) au moins un peu et qui me connaissent. Combien de personnes en tout cela ferait-il ?

Mon estimation compte tenu de mon nombre d' »amis » sur Facebook et de ce qu’il peut représenter par rapport à la totalité de mes connaissances. Au bas mot 200 personnes, au très bas mot. Ca devrait tourner autours de mille peut-être. Je pense que c’est assez peu par rapport à la moyenne des français de mon âge (histoire de situer). Ou pas ?

Bon, ça c’est le concept grand public. Pour les fines lames je propose la soirée avec que les personnes qu’on n’aime pas. C’est doublement ambitieux puisqu’elles risquent bien de ne pas venir à la fête. Celle avec seule les personnes qu’on aime coûte bien sûr au moins cent fois plus. Enfin, je parle de mon cas personnel, hein ?

Est-ce que tu crois que tu peux monter une de ces soirées en un mois et de pouvoir réunir plus de cent personnes ?

Tiens, souvent je me force un peu à atteindre les 1000 mots quand j’écris. Je viens de découvrir que Stephen King fait exactement la même chose mais se fixe la barre à 2000 par jour. Boh ça m’en secoue une sans faire bouger l’autre. Je suis un lovecraftien avant l’heure. A 15 ans j’avais tout lu, enfin tout ce que j’avais sous la main. Mais Stephen King très peu pour moi, c’est le Hitchcock de la littérature. Bref.

Tiens, lui c’est un tweeteur fou :

http://www.imdb.com/name/nm0005265/

Bon sinon, c’est clair, je déteste les Black Eyed Peas. Je me navre à les écouter à Taratata, et je comprends pourquoi ils s’entendent tous les quatre ! Clair qu’ils ne s’adressent pas à un garçon de mon éducation…

Ma chanson préférée bien sûr :

httpv://www.youtube.com/watch?v=U6XFwMyPoBo

Est-ce que tes parents ont négocié chez un cuisiniste et ont cru faire une affaire car le commercial avait téléphoné plus tard pour leur octroyer cette réduction incroyable (et inespérée pour ne pas dire, opération marketing extrêmement mal réalisée par un humanoïde avec deux de tension, du genre il t’annonce que tu as gagné 100 M€ au loto avec l’oeil morne du charcutier-tripier du marché de Lainsecq sur Yonne) ?

Mes parents ont été les plus malins. Ils ont accepté cette offre, acquis la cuisine d’exposition tant convoitée MAIS ne l’ont jamais installé. On ne réveille pas impunément l’esprit polémique et revanchard qui est le nôtre.

La vie est plus facile avec Bridalight

Ah.. Si seulement c’était vrai…

Machin truc, ne prenez que le meilleur.

Et le reste c’est pour qui ? C’est ça l’idée de partage des magasins Leclerc ?

Pour des défenses intimes

Et si vous n’êtes pas chez vous, emportez la pochette …

Une diarhée peut bouleverser l’harmonie de votre corps

Dans les reportages ou ils suivent un looser, c’est parce que mettre sur un piedestal un looser, ca plaît aux gens. Ils suivent le gars qui fait du ultimate fighting et va disputer un match en Suisse. Match qu’il perd bien sûr ! Si il avait gagné, les producteurs de l’émission auraient été bien embêtés…

Une idée, tiens. Des shows commez des catcheurs qui se battent avec des histoires parallèles, des femmes vugaires percolées à mort, des histoires de malette de fric et d’argent sale… Pourquoi ne pas faire pareil avec des superhéros dont les personnalités au fur et à mesure des shows, comme un match de catch : combat en direct avec un public excité et ragots divers… Ce format pourrait même se passer d’un public en poussant un peu les effets spéciaux (pause : la pétasse parle en français pour insulter, cte classe ! Elle vient de dire à la fin d’un phrase pleine de méduses « tu pues »… Ouarf ouarf ouarf, bien suuuuurrr… )

C’est quand même prodigieux la fumette. On a l’impression qu’on n’écrit pas assez vite pour avoir le temps de se souvenir de la fin de la phrase… Mais c’est un super moyen pour m’endormir et me rappeler quelque chose comme « t’as vu hein, t’as plein d’idée quand tu fumes. Tu te dis que tu utiliseras consciemment la prochaine fois cette substance prohibée pour t’y METTRE. Tu remets toujours à la prochaine fois, et ça c’est la force vive de ce végétal. Ce salaud en fait nous nargue et l’on est vraiment son esclave car on n’arrive ni ne veut décrocher. Pourquoi vouloir s’en passer ? Pour laisser la chance à une descendance de pouvoir choisir d’essayer, car c »est uine pratique que l’on doit découvrir surtout pas avec ses parents ??? Mhhhhhh…

Est-ce que tu sais qui c’est le Celtic Warrior ?

Dans le match de catch que je regarde, il y a eu un spot de la prévention de la WWA qui s’adressait aux enfants  » ne faites pas ça chez vous « . Synonyme de la très reprise phrase  » don’t do it at home « . Ben alors pourquoi ils le difffusent ce truc ? Je vais produire une émission, tiens, je vais filmer un viol collectif et je vais diffuser le tout à la télé, en prévenant qu’il ne faut pas faire chez soi. Euh ailleurs si ?Bref, ce message préventif est surtout synonyme de  » cette émission télé est nulle et ne vous servira à rien. On ne peut pas dire qu’on le fait pour soulager vos bas instincts animaux, mais si on pouvait, on dirait qu’on le fait pour l’argent…  » Yark…

Est-ce que tu crois que le catch c’est truqué ?

Pourtant le numéro 1 mondial doit flipper et se battre pour garder sa place, peut-être pas littéralement, mais bon.

Je me force à bien écrire pour ne pas paraître je ne sais pas quoi. Et c’est finalement un entrainement que la faiblesse de mémoire à court terme ne chute plus trop et se maintienne tout au plus.

T’as déjà appelé un numéro surtaxé pour savoir combien de gosses tu vas faire ?

Tu t’es déjà imaginé combattre pour la fumette libre ?
(c’était la question pour départager !)

Est-ce que t’es pour le cheat and clope and Campari ?

Est-ce que tu aimes le catch ?

Oulala je préfèrerais un peu de TV réalité…

Faire une émission où la table de chez Francis discute des uns et des autres sur le poker. Arf ! Ca serait excellent… (…). Mark qui lance les sujets, Mo, celui qui fait des billets (sorry j’te connais pas mieux), de Chrisitian (je me rend compte que je le connais déjà bien mieux !), Francis (transparent comme au poker), Thierry (popopopo), Fred (je suis venu pour me faire raser).

Est-ce que tu gardes pour toi toutes les idées que tu as eues avc le spif ?

Fair un magasin qui inverse les saisons pour la mode et les sports d’été/hiver. Ski en août, pelle et rateau en janvier.

Bof bof bof….

Qui c’était cette Fredérique près de chez moi ? Et chez Vincente ?? Et une tonne d’autres que e pourrais presque lister d’un bloc si je tapais plus vite ?

Rejet de notre société de consommation ? Non. Envie de retour aux sources et d’une vie plus saine, plus proche de la nature ? Non plus. J’en ai juste assez de mon milieu, et je sais que quoi que je fasse j’en serai un rouage. Je ne peux m’y soustraire.

Faut que je me donne et que je ne me garde plus pour moi.

Inception : pratique pour apprendre, plus besoin d’aller à la fac pendant de longues années…Un cerveau qui émule un cerveau, voilà une bonne définition des rêves…Je manipule. Je mets dans les têtes les idées que j’imagine.

Enfin j’essaye !

Un narguilé à base de salive fermentée. Effectivement ça dépasse tout !

Est-ce que tu mangerais une grosse chenille vivante comme en Equateur ?

Le critique qui conclut sa rubrique d’un film à $200 000 000 : « Mais ce ne sont que des trucs passagers, au service d’une histoire décevante, et ensevelis sous un déluge visuel, à l’insistance plus soporifique qu’onirique. »

Ben je viens de voir le film en question et cette critique lui convient comme un gant. Du sur mesure !

Bravo !

Le jour ou l’on comprendra ce que l’on fait là, tout s’arrêtera.

En poussant à fond la réflexion, je tends à m’échapper au sens propre et défiguré, ce qui implique une neutralité et une cuirasse de tous les instants. Comment pourrais-je montrer de la faiblesse si je ne suis pas d’ici ?

T’as peur ?

Et encore une page blanche, je vais finir par en faire un cahier. Je suis dans une situation banale où la couleur qui la dépeint le mieux est le blanc.