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Articles pour le mot-clé ‘groupe’

La France va sortir de la misère bientôt, et ce n’est pas moi qui le dit donc ça doit être vrai puisque… puisque ?

D’après un bruit de couloir qui vaut ce qu’il vaut sur le plan de la fiabilité, le groupe Peugeot s’allierait avec General Motors, numéro 1 mondial de l’automobile. On en sait assez peu plus sur la question. On ignore même de quel couloir il s’agit. Ca n’empêche pas des journalistes de divaguer à l’envi sur la rumeur et de lister les avantages pour le groupe français dans cet éventuel accord :

ashtétépé.www.jeanmarc-sylvestre.com/2012/02/23/en-salliant-a-general-motors-psa-rattrape-son-retard

Analyse de l’éminent Jean-Marc Sylvestre de TF1/LCI sur son blog sur un des intérêts de cette alliance/fusion/phagocytage/digestion :

-Faire des voitures lowcost. Et ainsi répondre à la demande des pays émergents.

Pourquoi pas. Mais voilà une petite image qui met le tout en relief :

(sources : abcmoteur.fr)

Et kikonvoit en N°7 sur 2010 ?

Ce n’est pas une Peugeot mais tu suis mon raisonnement.

Clair qu’avec la krise notre beau pays émerge à peine…

Ce n’est que mon analyse de blogueur embué, mais quand je lis de la part d’une sommité une réflexion aussi fine et digeste qu’une tranche de lasagne d’Epic Meal Time, je ne peux retenir un petit émoi confus et une moue de circonstance.

Tu connais pas ?

Ce n’est pas le clip mais j’adoooore cette chanson. De toute façon, il n’y a pas de clip, c’est un obscur groupe qui l’a composé. Ils auraient mérité de vraiment percer. Malheureusement ils ont boudé le festival de Woodstock pour se produire dans une autre ville avec un cachet plus important à la clé.

Bon l’une des chanteuses était Minnie Riperton quand même :

Celle-là aussi j’adore. La voix éthérée haut perchée, la présence de Minnie, la rythmique très seventies, le piano électrique indispensable, les riffs de guitare, les cuivres rares, les cordes bien longues. Je fonds. Et à revoir ce live, je trouve qu’en plus elle est très expressive quand elle chante.

Voilà une chanteuse qui transgresse la loi générale chez moi. Elle a transfiguré le genre en atteignant la perfection de son art. C’est sa conception de la musique, alors que moi je propose d’explorer les détails, la matière même qui fait la musique. Je ne cherche aucune perfection, je demande simplement à l’auditeur de tendre son oreille plus près, beaucoup plus près. Je l’implore de prendre en charge plus de ressources dans son cerveau, à partir de signaux bruts et élémentaires. Ma musique exige il est vrai de fournir bien plus d’efforts. C’est là toute la différence entre les langages web côté serveur et côté client. PHP et Javascript…

Mais peut-être que je me trompe de public. Je ne déteste pas la mauvaise musique classée comme telle. Je préfère mille fois subir une émission télé avec Sheila qui chante et danse sur son dernier hit dans les années 70, que de voir en concert live Céline Dion. Le choix entre les deux est simple, un concert ça dure bien plus longtemps qu’une seule chanson.

T’as une tsantsa chez toi ?

Je viens de remarquer que la publicité qui s’affiche sur Facebook en mode connecté, il est affiché les publicités suivantes : tarot, bridge, belote. Bon, c’est ce que j’ai rempli dans la rubrique loisir de mon profil. Force est de constater qu’on ne me propose plus de publicités sur le poker. Oui c’est une très petite victoire, mais c’est malgré tout une victoire.

Tiens, ça a pas mal vieilli ça !

Publicité

Ce n’est que bien plus tard après la période où cette mauvaise pub a irradié mes yeux et mes tympans, que j’ai appris que le mot « gringo » était très péjoratif en Amérique du Sud en général. Le gringo, c’est l’américain qui a du blé, qui laisse des pourboire, et qu’on peut facilement arnaquer et voler. Le gringo est riche, certes, mais le gringo est un animal de proie dans les pays où on l’appelle ainsi. Pauvre gringo.

Je préfère cette pub.

Spectateur du monde, pas spectateur de mon monde

Spectateur du monde, pas spectateur de mon monde. Acerbe sans le savoir. D’ailleurs être méchant de manière méritée, ça ne s’invente pas, c’est dans le sang. La méchanceté justifée ne s’apprend pas. Ce talent se transmet, mais se cultive peu. Elle coule dans mes veines en natif.

Ce n’est peut-être pas si vrai. Autant dans mon éducation l’on ne m’a pas appris à plaire (ou que même cela pouvait prétendre à un enseignement), mais je sais aimer. Alors pourquoi pas détester ? Plus que cela encore, je me pense pas éprouver de la haine à m’adonner à la méchanceté « nature ». Ce n’est pas un antinomie du sentiment amoureux. Je fais mon méchant à la fois sans état d’âme ni haine particulière. Je me félicite que ces foules abruties existent encore car sinon je n’aurais plus rien à dire. La plupart des joueurs de poker critiquent sans fin pourquoi untel joue mal et a eu de la chance. Il en reste bien peu qui pensent qu’au contraire ces joueurs redoutés car médiocres font que ce jeu d’argent reste profitable… Je fais partie de ce second groupe, et je ne suis jamais énervé ou haineux quand je perds contre un piètre joueur. Le « donk » au poker comme dans la vie est une nécessaire à notre raison d’être même. La prochaine fois je le raserai en douceur car il joue trop mal, je le sais mais lui-même l’ignore, ou tout au moins ne serait pas d’accord.

Parlant de l’écriture automatique :  » On rejoint alors un univers plus vaste que l’on n’aurait jamais osé imaginer, une parenthèse hors du temps.  »

Ca ressemble pas mal à la plongée en eaux troubles…

T’es un pote de Jacques Fruminet ?

Sacré Fruminet !