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Articles pour le mot-clé ‘fin’

Déliquescence ?

J’ai acheté sur Internet une tablette de chocolat noir 8 euros, et j’ai payé 13 euros de frais de port. Et le chocolatier est français.

Bon, il ne doit pas en avoir si souvent que ça des tarés prêts à acheter 8 euros de chocolat pour un montant total de 21 euros.

 

Et en plus il y a un épilogue heureux : il a ajouté une très seconde tablette bonne tablette d’une valeur de 6,85 euros.

La fin est proche !

Les journalistes du Monde sont des marrants

Fin des voeux du procureur Courroye au parquet de Nanterre le 16 janvier 2012 :

« Quel plus bel acte de foi en l’avenir que cette adresse prophétique de Mirabeau, prononcée le 22 mai 1790 à la tribune de l’assemblée nationale : “ le temps, ce juge incorruptible qui fait justice à tous” ».

Et le journaliste de conclure :

On ne peut que souscrire à cet admirable apophtegme. Mirabeau est mort un an plus tard et sa dépouille a été déposée en grande pompe au Panthéon, jusqu’à ce que la Convention l’en déménage lorsqu’il a été découvert que parallèlement à ses discours enflammés, il négociait secrètement avec le roi pour devenir ministre. Mirabeau a été enterré anonymement au cimetière de Clamart puis ses cendres, dit-on, ont été jetées dans les égouts.

http://libertes.blog.lemonde.fr/2012/01/16/les-voeux-du-procureur-courroye-aux-grandes-consciences/

Les fadettes semblent titiller la corde du mordant…

 

La vidéo que je cherchais, je tombe dessus

httpv://www.youtube.com/watch?v=4KO4_feIKO0
224 vues pour cette vidéo de la chaîne officielle des Monty Pythons, un sketch inédit qu’on croyait perdu dont on ne connaissait aucun enregistrement, et le voilà à la lumière, arraché à l’oubli par un geek qui collectionne les VHS, et qui, enfin, après tant d’années de collecte et d’étiquetage respectivement d’enregistrements télé et de boîtiers de cassettes vidéos, trouve la justification ultime à son trouble obsessionnel du comportement, à savoir la syllogomanie (et voilà un mot qui n’est même pas dans le correcteur orthographique tellement qu’il est français).

Merci geek ! Ton agrégat de 1500 cassettes VHS dans ton petit chez toi n’a pas été vain.

Une pépite.

Ben non, tout le monde s’en fout en fin de compte, ce pauvre malade peut crever écrasé par ses étagères remplies.

 

De toute façon, il n’y a pas à tortiller, je me doute que le nombre de personnes sur terre qui a vu tous les épisodes des Monty Pythons plusieurs fois est assez peu conséquent, et cela ne m’apporte strictement aucune fierté, mais de la honte, oui, que tant et tant de mes congénères puissent passer à côté de ce tour de force, disons artistique pour fixer les idées.

Le geek est mon ami.

 

 

 

 

 

On a tous ses grands moments de joie et de tristesse

Moi je me rappelle du plus beau jour de ma vie comme si c’était hier avec grande émotion. C’était le 29 avril 2008. Je m’en rappelle c’était un mardi. Ce jour-là, Phil Collins a annoncé à la terre médusée (et à moi soulagé) qu’il mettait fin à sa carrière musicale. Il était temps d’arrêter les conneries ! Il n’y a pas eu de manifestations géantes avant cette date rythmé au son des « Phil,dégage! », mais laissez-moi cette image, elle me calme et me permet d’atteindre le sommeil plus sereinement.

Il est parti comme l’éjaculateur retardé, trop tard. Il n’aurait jamais dû quitter la batterie ! Bon, c’est une affaire de goût. En tout cas le 29 avril 2008 je devais être à Hong Kong pour ma tournée de printemps, et la foule asiatique se ruait dehors pour exhulter comme moi. Quelle libération, quel grand moment… Nous étions tous libérés à jamais de ses sordides mélodies faciles.

Et puis il y a mon jour le plus sombre, celui qui commence sous le sceau du déni de la vie. Le jour qui se démarque de la monotonie des autres par une couleur moins prometteuse pour le moins, d’une couleur obscure à l’endroit de la singularité centrale. C’était, je m’en souviens encore très bien, l’année dernière, le 20 avril 2010.

A cette date, il a annoncé qu’il allait sortir un nouvel album.

J’ai alors perdu le peu de confiance que je portais en le genre humain. Pourquoi l’homme gâche-il sitôt distribué ces moments d’allégresse, ce sentiment d’appartenir tous à la même famille mondiale ? Il avait mis un terme à sa « carrière » à cause de « problèmes d’audition ». Il aurait dû simplement en rester là, mais il n’a pas su entendre ce que la Nature elle-même lui dictait. Voilà qu’un ORL, par pur appât du gain, lui a prescrit un sonotone.

Je hais les ORL.

Impediment

Impediment. C’est pas une insulte ou une nouvelle position sexuelle. Ca veut dire “ é lo cu tion ”. Ca non plus ça n’est pas une position sexuelle…

Le premier homme sur la Lune. Juillet 69. Tu m’étonnes que ça a amplifié le summer love, cette nouvelle perspective, l’achêvement d’un rêve d’enfant, le réveil. L’humanité tout entière respirait de concert cette brise de liberté. C’est possible, ils l’ont fait…

Tiens je pourrais faire un buzz en faisant croire que je lance une boîte qui commercialise des fours crématoires à usage loisir. Je me fais arracher la gueule, piétiné par tout le monde (enfin sauf ceux qui se voyaient déjà clients), et ensuite j’annoncerais que c’était une blague. J’aurais le beau rôle et je mettrais un coup de projecteur sur le malaise de cette communauté, et ce, à moindre frais, sans me faire trop d’ennemis. Ce scénario me séduit car je ne trouve comme cela pas d’autre possibilité me permettant de me faire connaître à plus moindre frais. A voir avec les encouragements du professeur principal. Merci Monsieur. Je peux partir ?

On a tous des disciplines dans lesquelles on est très concentrés. Kasparov, par exemple, ce sont les échecs, Maitre Eolas c’est la justice, Phil Ivey, le poker, notre président, les femmes, les femmes, notre président…

Moi, ma discipline, c’est les sketches comiques. Bien plus que le poker, où au fond je reste en surface. Le calcul mental du comptage de la valeur du pot ne suffit pas à être considéré comme bon joueur. Je raconte toutes ces salades bien évidemment pour appâter le poisson et donner aux gens que je méprise profondément et qui se reconnaissent, l’envie de me terrasser au double Omaha High Low 6 cartes. Un peu de sérieux…

C’est pour moi la quintessence de l’homme. Observer et comprendre le jeu d’acteur, et s’évertuer de cerner ses motivations et ses inspirations. Où a-t-il trouvé cette idée tellement loufoque qu’en la racontant, c’est vraiment impossible de ne pas rire ? Au bout du compte il n’y a que les spectateurs qui ont un droit légitime à se laisser aller à vraiment rigoler en public. Et bien sûr les comiques lors de l’écriture de leurs textes. Mais ce dernier aspect est mille fois hélas mal documenté.

Dans les Monty Pythons, jusqu’à ce soir, je n’avais vu John Cleese, Terry Jones, Eric Idle, Graham Chapman, Terry Gilliam ou Michael Palin rire qu’une seule et unique fois pendant un sketch. C’est Michael Palin (sorry mister Vercotti) dans le numéro 2 dans le sketch du tableau avec le mouton au moment de rendre ses moustaches à John Cleese… J’ai gravé en tête les 45 épisodes du Flying Circus, et je n’éxagère beaucoup que d’un tout petit peu. Je mets au défi quiconque de me trouver une autre scène ou un des six est pris en flagrant délit de fou rire dissimulé.

Et là ce soir, je les regarde au Hollywood Bowl à Los Angeles (et je n’y ai même pas fait un détour alors que j’avais une voiture et surtout du temps puisque j’y étais en vacances prolongées…), et je surprends encore ce Palin à réprimer très discrètement un début de fou rire. C’est dans le sketch avec les tartes, à la fin. Et ne croyez pas que je fais une mise au point car Palin ne serait pas mon préféré ? Ma foi, reconnaître avoir un préféré chez les Monty Python, ce serait pouvoir oser imaginer qu’il y en ait de plus drôle que d’autres dans la troupe, et je n’en ai pas la force heureusement…

SI tu es quelqu’un de bien, ça veut dire que tu sais qui est John Philip Sousa…

Incroyable, je tombe sur une émission de spéléologie avec un reportage où des gens en combinaisons rouge dans une grotte font de la tyrolienne. C’est très beau, la fille va à tout allure sur le filin, puis elle approche de la fin de la traversée, et là on voit en bas de l’écran un balcon en pierre manufacturé. Mais qu’est-ce que ça fait ici un balcon ? On est pas dans une grotte ? Ah oui, c’est éclairé comme Versailles. Bon j’ai compris, ce ne sont pas des scientifiques, mais des gens qui ont gagné un stage découverte.

T’étais pour ou contre le projet Constellation ?

Tiens je viens d’avoir une idée d’exploitation (de mise en valeur oserais-je) de ces questions qui truffent mes textes (le melanosporum attire le cochon, moi non plus je ne vois pas le rapport) . Un jeu ! Avec Google, tout est à portée de main, à tel point qu’on ne galère plus. à trouver une information. Moi je vais proposer des galères sur le web. Il y a quinze ans, on jouait au jeu “trouver une photo de Garcimor”. Aujourd’hui, je te demande si tu étais pour ou contre le projet Constellation. Note cher lecteur que je suis de bon poil car je te précise gratuitement et sans égarement de ma part, de un qu’il s’agit d’un projet, de deux que j’ai utilisé le passé pour te poser la question.

Si par exemple je récompense ceux qui répondent à la question comme moi, ça serait amusant de voir combien de personnes me ressemblent vraiment. J’en reviens à mon idée de questionnaire de Moi. Je liste une série de 300 questions, et il faut la remplir en répondant par oui ou par non à chacune d’elles. De deux choses l’une, soit on connaît la réponse, soit on tâche de répondre comme je répondrais, et si l’on a pas honte de ce choix, ma foi ça se complique. Si on se plante, c’est qu’on ignorait qu’on était dans l’opprobre de l’ostracisé. Pas bien. Si l’on a bon, on se rapproche de me comprendre d’autant, c’est-à-dire que l’on n’est pas très avancé. Bien.

Et qui sait, ça aurait le résultat dont je rêve, à savoir de faire disparaître chez les gens des attitudes grossières et franchement archétypales du plus terrifiant animal sur terre. Je veux extirper le peuple (et je le dis sans facilité de style ni aucune désapprobation quand à sa condition) et l’élever un peu dans la mesure du possible. Ou au moins qu’ils me foutent la paix. Pour le moment j’ai été très chanceux, ma vie n’a jamais croisé de blousons noirs qui en voulaient à mon larfeuille. Il ne s’agit pas là, Dieu me Lagarde, d’une de mes pires craintes, je me devais de le préciser pour couper l’herbe dans la graine. De tout façon, les blousons noirs ça fait has been. La preuve, quand je pense à Dick Rivers, je pense automatiquement d’abord à Monsieur Manhattan dans le sketch de la botte de ce rockeur sirupeux. Mais attention, je n’ai rien contre lui, c’est tout l’inverse.

Et je ne dirais jamais que la terre serait mieux si il n’y avait que des copies de moi. Une vie sans sein, plutôt crever direct.

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J’en connais qui diraient que c’est très narcissique et ostentatoire, bref démonstratif et finalement, ouch, de mauvais goût. Ca va pas la tête ou quoi ? Ca fait partie du programme de rester bien sagement assis sur son siège, et de surtout ne jamais déboucler la ceinture ? Je crois que je n’accorderais jamais aucune importance à des reproches de la sorte. Je veux bien que mon goût évolue un peu, normalement, avec le temps, comme l’inflation. Mais je ne vois pas comment je pourrais dans la même journée, la même année voir passer des concepts entre moi et les ostraciser subitement. Je me lève le matin en me moquant d’eux, je me couche dans leur lit le soir venu. Bof… A la limite, ça pourrait dans un accès délirant et fou dangereux, se produire si par exemple ma langue avait fourché là ou il ne fallait pas. Par exemple, je fais le cauchemard de la disparition d’un homme politique donné (j’oublie les femmes par pure galanterie ou par cynique machisme, je n’en sais rien), et le lendemain on apprend qu’il s’est rencardé devant le Grand Barbu pour un dépôt de bilan. Je dirais “Oh ben mince !”.

L’idée des questions est une bonne idée, forcément puisqu’elle est de moi. Devant sa première question, on a le choix entre répondre au pif, répondre correctement car on connaît la bonne réponse, faire des recherches avant de répondre, et ne pas faire de recherche mais réfléchir un peu. Dans tous les cas, mon quasi objectif est atteint, à savoir que tous les participants ont dû réfléchir un peu, c’est ça de bon à prendre. Et pour généraliser, je dirais que le simple principe du “jeu” (car l’on est effectivement en présence d’un “jeu”) fait un peu réfléchir et s’intéresser à moi. Ouarf ! Aujourd’hui je serais content que mon cas soit documenté et devienne un digne sujet d’étude, qui ne le serait pas ? C’est ingratement le seul cas qui semble me rester pour me justifier si l’on me mettait sur la défensive. Je plaisante !

Je vais donc inventorier toutes mes phrases et figer mes réponses sur la même ligne. Une bonne réponse : 1 point. Une mauvaise réponse : 0 point. Certaines questions ramènent 0,5 à chacun et ne sont donc pas discriminantes, histoire de faire transpirer un peu les fronts. Et j’irai plus loin dans le système de notation en donnant des étoiles de difficulté à chaque question. Soit la question doit être décodée pour être répondue, soit cette réponse peut découler d’une connaissance de toutes les autres questions et réponses. Ca va faire mal.

Crois-tu que l’URSS s’est effondrée grâce à la pression soutenue de l’Ouest ?

Parlons rapidement de convictions politiques. Moi, je n’y peux presque rien, il est un fait que la droite est une maladie que contractent des gens dans l’erreur, contre laquelle on ne peut pas grand chose hélas. Le malade se croit bien portant mais il est presque certain d’y rester. Il est du côté de ceux qui fabriquent une société dans la société. Les plus influents utilisent la politique pour avantager leur communauté, asseoir leur pouvoir, et souvent dans les cas les plus graves reconduire des indésirables à la frontière, voire les faire tuer. L’extrême droite, c’est se débarrasser de tous ceux qui ne sont pas français, car la France c’est bien et les étrangers c’est pas des Français, donc c’est pas bien, voire carrément mal.

Argument imparable…

Fin de l’été, le froid revient

Fin de l’été, le froid revient, le soleil se barre, le royaume glacé et sombre est de retour.

J’ai envie depuis longtemps d’écrire un livre, une histoire, un roman, un simple petit texte, bref, et je me demande souvent comment travaillent les écrivains dont c’est le métier. La question qui me taraude est celle de la prise de note et de l’ébauche préalable d’un brouillon. Dois-je me procurer par exemple un cahier vierge de 100 pages, et anoter les pages multiples de 10, puis ensuite rédiger les pages intermédiaires ? Mhhhh…

Souvent lorsque j’écris, je ne me fais que forcer de coucher sur la page une pensée, une suite de raisonnements que j’ai souvent eu et qui m’est très familière car je l’ai déjà eue. Tout ce que je fais, c’est prendre le temps de figer textuellement le concept comme méritant le droit de passer à la postérité.

Est-ce que tu as à la maison une femme objet ?

Tu sais danser la finger dance ?

Alcool, fumette, tabac… Ca fait partie de quelle famille au fait ? La famille de l’aide à l’acceptation ?

Tu connais le champuionnat du monde de cassage de vélos ?

T’as changé de sexe ?

Est-ce que tu connais quelqu’un qui a changé deux fois de sexe ?

Spectateur du monde, pas spectateur de mon monde

Spectateur du monde, pas spectateur de mon monde. Acerbe sans le savoir. D’ailleurs être méchant de manière méritée, ça ne s’invente pas, c’est dans le sang. La méchanceté justifée ne s’apprend pas. Ce talent se transmet, mais se cultive peu. Elle coule dans mes veines en natif.

Ce n’est peut-être pas si vrai. Autant dans mon éducation l’on ne m’a pas appris à plaire (ou que même cela pouvait prétendre à un enseignement), mais je sais aimer. Alors pourquoi pas détester ? Plus que cela encore, je me pense pas éprouver de la haine à m’adonner à la méchanceté « nature ». Ce n’est pas un antinomie du sentiment amoureux. Je fais mon méchant à la fois sans état d’âme ni haine particulière. Je me félicite que ces foules abruties existent encore car sinon je n’aurais plus rien à dire. La plupart des joueurs de poker critiquent sans fin pourquoi untel joue mal et a eu de la chance. Il en reste bien peu qui pensent qu’au contraire ces joueurs redoutés car médiocres font que ce jeu d’argent reste profitable… Je fais partie de ce second groupe, et je ne suis jamais énervé ou haineux quand je perds contre un piètre joueur. Le « donk » au poker comme dans la vie est une nécessaire à notre raison d’être même. La prochaine fois je le raserai en douceur car il joue trop mal, je le sais mais lui-même l’ignore, ou tout au moins ne serait pas d’accord.

Parlant de l’écriture automatique :  » On rejoint alors un univers plus vaste que l’on n’aurait jamais osé imaginer, une parenthèse hors du temps.  »

Ca ressemble pas mal à la plongée en eaux troubles…

T’es un pote de Jacques Fruminet ?

Sacré Fruminet !

La vie est plus facile avec Bridalight

Ah.. Si seulement c’était vrai…

Machin truc, ne prenez que le meilleur.

Et le reste c’est pour qui ? C’est ça l’idée de partage des magasins Leclerc ?

Pour des défenses intimes

Et si vous n’êtes pas chez vous, emportez la pochette …

Une diarhée peut bouleverser l’harmonie de votre corps

Dans les reportages ou ils suivent un looser, c’est parce que mettre sur un piedestal un looser, ca plaît aux gens. Ils suivent le gars qui fait du ultimate fighting et va disputer un match en Suisse. Match qu’il perd bien sûr ! Si il avait gagné, les producteurs de l’émission auraient été bien embêtés…

Une idée, tiens. Des shows commez des catcheurs qui se battent avec des histoires parallèles, des femmes vugaires percolées à mort, des histoires de malette de fric et d’argent sale… Pourquoi ne pas faire pareil avec des superhéros dont les personnalités au fur et à mesure des shows, comme un match de catch : combat en direct avec un public excité et ragots divers… Ce format pourrait même se passer d’un public en poussant un peu les effets spéciaux (pause : la pétasse parle en français pour insulter, cte classe ! Elle vient de dire à la fin d’un phrase pleine de méduses « tu pues »… Ouarf ouarf ouarf, bien suuuuurrr… )

C’est quand même prodigieux la fumette. On a l’impression qu’on n’écrit pas assez vite pour avoir le temps de se souvenir de la fin de la phrase… Mais c’est un super moyen pour m’endormir et me rappeler quelque chose comme « t’as vu hein, t’as plein d’idée quand tu fumes. Tu te dis que tu utiliseras consciemment la prochaine fois cette substance prohibée pour t’y METTRE. Tu remets toujours à la prochaine fois, et ça c’est la force vive de ce végétal. Ce salaud en fait nous nargue et l’on est vraiment son esclave car on n’arrive ni ne veut décrocher. Pourquoi vouloir s’en passer ? Pour laisser la chance à une descendance de pouvoir choisir d’essayer, car c »est uine pratique que l’on doit découvrir surtout pas avec ses parents ??? Mhhhhhh…

Est-ce que tu sais qui c’est le Celtic Warrior ?

Dans le match de catch que je regarde, il y a eu un spot de la prévention de la WWA qui s’adressait aux enfants  » ne faites pas ça chez vous « . Synonyme de la très reprise phrase  » don’t do it at home « . Ben alors pourquoi ils le difffusent ce truc ? Je vais produire une émission, tiens, je vais filmer un viol collectif et je vais diffuser le tout à la télé, en prévenant qu’il ne faut pas faire chez soi. Euh ailleurs si ?Bref, ce message préventif est surtout synonyme de  » cette émission télé est nulle et ne vous servira à rien. On ne peut pas dire qu’on le fait pour soulager vos bas instincts animaux, mais si on pouvait, on dirait qu’on le fait pour l’argent…  » Yark…

Est-ce que tu crois que le catch c’est truqué ?

Pourtant le numéro 1 mondial doit flipper et se battre pour garder sa place, peut-être pas littéralement, mais bon.

Je me force à bien écrire pour ne pas paraître je ne sais pas quoi. Et c’est finalement un entrainement que la faiblesse de mémoire à court terme ne chute plus trop et se maintienne tout au plus.

T’as déjà appelé un numéro surtaxé pour savoir combien de gosses tu vas faire ?

Tu t’es déjà imaginé combattre pour la fumette libre ?
(c’était la question pour départager !)

Est-ce que t’es pour le cheat and clope and Campari ?

Est-ce que tu aimes le catch ?

Oulala je préfèrerais un peu de TV réalité…

Faire une émission où la table de chez Francis discute des uns et des autres sur le poker. Arf ! Ca serait excellent… (…). Mark qui lance les sujets, Mo, celui qui fait des billets (sorry j’te connais pas mieux), de Chrisitian (je me rend compte que je le connais déjà bien mieux !), Francis (transparent comme au poker), Thierry (popopopo), Fred (je suis venu pour me faire raser).

Est-ce que tu gardes pour toi toutes les idées que tu as eues avc le spif ?

Fair un magasin qui inverse les saisons pour la mode et les sports d’été/hiver. Ski en août, pelle et rateau en janvier.

Bof bof bof….

Qui c’était cette Fredérique près de chez moi ? Et chez Vincente ?? Et une tonne d’autres que e pourrais presque lister d’un bloc si je tapais plus vite ?

Rejet de notre société de consommation ? Non. Envie de retour aux sources et d’une vie plus saine, plus proche de la nature ? Non plus. J’en ai juste assez de mon milieu, et je sais que quoi que je fasse j’en serai un rouage. Je ne peux m’y soustraire.

Faut que je me donne et que je ne me garde plus pour moi.

Inception : pratique pour apprendre, plus besoin d’aller à la fac pendant de longues années…Un cerveau qui émule un cerveau, voilà une bonne définition des rêves…Je manipule. Je mets dans les têtes les idées que j’imagine.

Enfin j’essaye !

Un narguilé à base de salive fermentée. Effectivement ça dépasse tout !

Est-ce que tu mangerais une grosse chenille vivante comme en Equateur ?

Le critique qui conclut sa rubrique d’un film à $200 000 000 : « Mais ce ne sont que des trucs passagers, au service d’une histoire décevante, et ensevelis sous un déluge visuel, à l’insistance plus soporifique qu’onirique. »

Ben je viens de voir le film en question et cette critique lui convient comme un gant. Du sur mesure !

Bravo !

Le jour ou l’on comprendra ce que l’on fait là, tout s’arrêtera.

En poussant à fond la réflexion, je tends à m’échapper au sens propre et défiguré, ce qui implique une neutralité et une cuirasse de tous les instants. Comment pourrais-je montrer de la faiblesse si je ne suis pas d’ici ?

T’as peur ?

Et encore une page blanche, je vais finir par en faire un cahier. Je suis dans une situation banale où la couleur qui la dépeint le mieux est le blanc.