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Articles pour le mot-clé ‘événement’

Liaisons

On n’a pas inventé grand chose en synonyme du mot braguette. Quel est l’autre mot qui veut dire braguette ? Allez ? Cherche ? Il n’y en a pas.

Et l’on fut plus prolixe pour dire un slip. Il existe des centaines de dénominations pour cet accessoire incontournable. Culotte, slob, string, calbute, benne, caleçon, sakakuÏ… et encore je ne me fatigue pas trop pour illustrer.

Sans transition ou presque.

Je réfléchis parfois à une idée barrée d’événement festif personnel. L’organisation de la soirée de mon entourage : travail, famille, amis, concierge, profs, bref tous ceux que je connais (et dont je me souviens) au moins un peu et qui me connaissent. Combien de personnes en tout cela ferait-il ?

Mon estimation compte tenu de mon nombre d' »amis » sur Facebook et de ce qu’il peut représenter par rapport à la totalité de mes connaissances. Au bas mot 200 personnes, au très bas mot. Ca devrait tourner autours de mille peut-être. Je pense que c’est assez peu par rapport à la moyenne des français de mon âge (histoire de situer). Ou pas ?

Bon, ça c’est le concept grand public. Pour les fines lames je propose la soirée avec que les personnes qu’on n’aime pas. C’est doublement ambitieux puisqu’elles risquent bien de ne pas venir à la fête. Celle avec seule les personnes qu’on aime coûte bien sûr au moins cent fois plus. Enfin, je parle de mon cas personnel, hein ?

Est-ce que tu crois que tu peux monter une de ces soirées en un mois et de pouvoir réunir plus de cent personnes ?

Tiens, souvent je me force un peu à atteindre les 1000 mots quand j’écris. Je viens de découvrir que Stephen King fait exactement la même chose mais se fixe la barre à 2000 par jour. Boh ça m’en secoue une sans faire bouger l’autre. Je suis un lovecraftien avant l’heure. A 15 ans j’avais tout lu, enfin tout ce que j’avais sous la main. Mais Stephen King très peu pour moi, c’est le Hitchcock de la littérature. Bref.

Tiens, lui c’est un tweeteur fou :

http://www.imdb.com/name/nm0005265/

Bon sinon, c’est clair, je déteste les Black Eyed Peas. Je me navre à les écouter à Taratata, et je comprends pourquoi ils s’entendent tous les quatre ! Clair qu’ils ne s’adressent pas à un garçon de mon éducation…

Ma chanson préférée bien sûr :

httpv://www.youtube.com/watch?v=U6XFwMyPoBo

Est-ce que tes parents ont négocié chez un cuisiniste et ont cru faire une affaire car le commercial avait téléphoné plus tard pour leur octroyer cette réduction incroyable (et inespérée pour ne pas dire, opération marketing extrêmement mal réalisée par un humanoïde avec deux de tension, du genre il t’annonce que tu as gagné 100 M€ au loto avec l’oeil morne du charcutier-tripier du marché de Lainsecq sur Yonne) ?

Mes parents ont été les plus malins. Ils ont accepté cette offre, acquis la cuisine d’exposition tant convoitée MAIS ne l’ont jamais installé. On ne réveille pas impunément l’esprit polémique et revanchard qui est le nôtre.

Le culte de l’oubli

Hier j’ai développé une idée, et comme je n’avais pas mon PC sous la main, j’ai essayé de la mémoriser pour la restituer plus tard. Malheureusement, comme toujours je n’arrive plus à mettre la main dessus. Il y a encore peu, ce serait un non événement tellement c’était banal chez moi. Mais aujourd’hui, alors que je tente d’accentuer ma prétention à écrire, cet oubli est impardonnable. Cette idée perdue à jamais dans les limbes, je la regretterai à jamais car elle formalise le nouveau départ que j’implore désormais. Ce n’est finalement pas si mal, et cela constitue une étape obligée dans mon deuil de celle-ci.

A Tournez manège, la fille dis au mec “il paraît que la taille du sexe est lié à celle de ta pointure, tu chausses du combien?”, et là le mec répond “ 41 centimètres ! “. Ouarf….

Allez, on repart doucement

Allez, on repart doucement. Comme dirait Polnareff, j’ai tant de choses à dire…

L’histoire du monde telle que nous la connaissons, est-ce vraiment l’histoire ? De plus en plus bien sûr le nombre de sources d’information augmente. C’est grâce à elles que l’on écrit l’histoire, elle est donc de plus en plus riche. Il semblerait à premier abord que l’intégralité des faits soit cataloguée, documentée. Or il n’en est rien. Que j’aille aux toilettes maintenant ou dans cinq minutes, personne ne le saura jamais à part moi (pour mémoire me concernant, je n’y suis pas allé du tout). Certains artistes se « contentent » de documenter un fait obscur ou considéré comme inintéressant (inutile plus exactement). Mais la grande majorité de ceux-ci préfèrent au contraire inventer l’histoire en faisant de leur vie et/ou de leurs oeuvres un outil permettant de l’écrire. Me concernant, je semble me placer au dessus de l’histoire et de tenir le rôle d’un observateur global. Et c’est cette globalité qui probablement m’emprisonne. Je sens qu’elle empoisonne à mon insu la moindre pensée qui traverse mon esprit. Elle me permettrait de rire au nez d’un assassin qui veut me tuer. L’angle de vue que je possède me permet d’avoir recours systématiquement à la vue aérienne intégrale de l’événement. J’ignore en réalité si cela m’est bénéfique ou pas.

A l’heure actuelle, je n’ai toujours même pas essayé de me relire. J’hésite beaucoup à le faire car je crains que cela n’impacte pas sur ce que j’écris. Et j’ai bien raison d’être inquiet ! Cela serait inévitable et enliserait mes idées au point de les alourdir ad nauseam. Si je veux écris une « histoire », je devrais assurément adopter une nouvelle méthode d’écrire ET de relecture.

Je pensais encore à l’ordre naturel, la loi de la nature. On dit que l’homme détruit son environnement par exemple en défrichant un carré de forêt amazonienne. L’état de nature est surtout pour moi l’évolution de la nature sans l’homme, régie par les hasards et autre improbabilités. On cherche à préserver la nature pour une raison qui m’échape. La majorité de mes semblables croit encore faire partie de ce tout que l’on appele la nature. Cela constitue une tragique méprise bien dommageable pour notre évolution. L’homme commence à découvrir qu’il lui sera possible très bientôt de pouvoir effectuer des changements sur sa propre espèce.

J’en arrive à cette réflexion qui est le symbole même du nombrilisme. J’ai du mal à intégrer les événements nouveaux dans mon inspiration. Le concept neuf me glace et m’empêche de m’envoler (ou de plonger). Ceci acquis, je dois apprendre à surmonter ces changements et à les intégrer dans mes écrits. C’est ce que j’ai commencé à peine à faire avec ces lignes.

Quanf j’était étudiant, deux ingénieurs (donc plus agés) m’ont dit de bien profiter de la prépa scientifique que j’allais rejoindre, car cela était le sommet intellectuel de mes études. Cela faisait baisser l’intérêt déjà entamé que j’avais pour les écoles d’ingénieur. Et dire que je l’ai cru si longtemps. Non mais c’est complètement dingue d’être convaincu de cela. On réfléchit le temps de quelques années dans sa vie, et après on bosse comme un calu le reste.

Le contexte de la création, et son histoire sont-ils importants dans une oeuvre ? Cette question résonne à mes oreilles comme un sujet du bac. Comment l’artiste en est venu à peindre tel tableau. Mais justement, c’est ce qui est de plus important à savoir. Connaître telle anecdote sur un artiste donne un pouvoir immense. C’est toujours bon à prendre de faire son éducation à un passionné. Cela flatte l’égo et la vanité.

SI Ruquier il prend pas de la coke, je veux bien arrêter à vie le Omaha Hi Lo.

Tu sais qui a dit « Je compte sans dépenser » ?

Je dois m’acheter une blouse blanche. Je la mets, cela signifie que j’ai changé de peau et que je suis maintenant celui qui compose, qui crée.